Perso j'ai arrêté à l'épisode 6.
Pourtant je n'estime pas que cette soirée soit mauvaise, loin de là, mais j'avoue avoir du mal à rentrer dedans tellement elle change de ton d'un épisode à l'autre.
Tantôt noire et pessimiste, tantôt burlesque voire Burtonnienne (sans trop spoiler, l'épisode consacré à l'ex-femme), sombre, grave, farfelue, mystérieuse, déprimante, ou dans la dérision totale.
C'est à la fois très riche, et trop riche. C'est assez déstabilisant je dois dire.
Je crois que le numéro (ou devrais-je dire le "sketch") de la déesse de la TV, incarnée par Gillian "Scully" Anderson, que j'ai trouvé en fait assez grotesque, associée à l'apparition flippante de Crispin "MacFly" Glover, tout ça dans le même intervalle de 15 minutes, m'a stoppé net.
Néanmoins, Ian McShane est comme toujours incroyable de charisme et de présence, sans même avoir besoin de causer. L'acteur principal est très bon aussi, à la fois incrédule, inquiet, désabusé, et au moral d'acier.
Mais globalement j'ai du mal. Soit c'est trop loufoque, soit pas assez, je ne sais pas.
Peut-être faut-il que je me pousse au cul et que je juge en fonction de la suite, mais j'arrive pas à me motiver
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Sujet: American Gods (Lu 4741 fois)